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La Médecine de demain



Psychologie Cosmique

04-10-86 1/5


Médecine de demain.
Se brancher avec la hiérarchie.

Stérilité de la femme.
L’homéopathie.
Thérapie avec les aimants.
Le psychisme en cancérologie.

Question :
Comment peut-on se préparer à la médecine de demain, qui sera la médecine de l’énergie, ou des énergies ?

Naturellement, cela ne veut pas dire qu’il y aura manipulation de l’énergie comme le fait, par exemple, un guérisseur. Mais à partir du moment où l’on stimule quelque chose, où l’on arrête par exemple, le processus d’un organe, cela a rapport avec l’énergie.

C’est pour cela, que les traitements à l’aide d’éléments chimiques ont parfois à longue échéance des effets dévastateurs.
Sur le moment, face à la maladie, face au problème, il y a règlement du problème, il y a règlement de la maladie, effacement des symptômes. Mais pourtant, plus tard, d’autres dérèglements apparaissent de nouveau. C’est parce que, justement, il y a eu une entrave dans le système énergétique.



Donc, quoi que vous fassiez, ne serait-ce que de vous nourrir, d’absorber de l’eau ou un fruit, c’est une démarche énergétique. Une pensée, un mouvement, c’est une démarche énergétique. C’est pour cela, que le Yatha Yoga a le pouvoir qu’on lui connaît, et que pendant les messes, il faut faire certaines ouvertures de bras, certaines génuflexions, et qu’en Égypte, il y avait aussi des disciplines où le corps était concerné.

Quoi que vous fassiez, vous êtes concernés par l’énergie.
Il n’y aura pas de médecine nouvelle. Il y aura tout simplement une autre ouverture par rapport à une pratique.

La médecine que vous connaissez dans le monde occidental qui semble occuper pratiquement la terre entière, parce que c’est lui qui actuellement pousse l’intelligence et qui va faire naître cette nouvelle race de médecin, la médecine qui concerne ce monde-là est une médecine racine. C’est une zone d’apprentissage, et elle  est plus intéressée par les expériences que par le remède en lui-même une fois trouvé. Elle est plus intéressée d’avoir des malades que des guérisons. Ce qui ne veut pas dire que les médecins n’ont pas envie de faire le bien, mais ce qui les motive avant tout, c’est la démarche.

En fait, le médecin est un grand chercheur, et un médecin qui n’est pas un chercheur n’arrive pas à être médecin. Il prescrit c’est tout. Mais si en même temps il est chercheur, il ne va jamais s’arrêter, il va toujours vouloir faire dépasser cette science qui a besoin de dépassement.
Il n’y a donc rien de nouveau à attendre. Il n’y a pas une meilleure médecine qui va supplanter une médecine décadente. C’est comme pour tout, il n’y aura que sublimation.

Il en est de même pour les religions, pour les principes philosophiques. Donc il ne faut pas penser à mettre de côté, à renier, à jeter au loin ce qui est acquis. Au contraire, il faut l’amplifier, le porter à un degré supérieur. Tout ceci a été fort utile, il ne faut pas l’oublier. Il en est de même lorsque l’on s’intéresse à la psychanalyse, la psychologie. Ces zones-là de la recherche sont encore des zones d’expériences. Plus tard viendra la véritable approche de la psyché.

En attendant, il faut que l’humanité, que l’homme surtout évolue, par rapport à sa propre constitution et à la façon dont il l’envisage. On ne peut pas envoyer un initié dire  aux hommes : la médecine, la psychologie c’est ceci, la religion c’est cela, les hommes n’accepteraient pas. Il faut que les hommes soient le terrain de l’expérience. Quelle que soit la science, la médecine, la recherche, la psychologie ou quoi que ce soit d’autre, une science est toujours tributaire de l’entendement humain.

C’est pourquoi, avant même de donner la solution, qui pourrait être facilement donnée par le guide ou le Maître, il faut initier l’individu à obtenir cette solution. Et c’est ce qui se passe à l’heure actuelle pour toutes les sciences. Les hommes sont initiés à obtenir la solution, ils ne sont pas en train de découvrir et de faire l’effort d’une découverte.


Mais en passant à travers la recherche, cette démarche scientifique leur permet d’agrandir leur entendement, leur permet d’évacuer certains tabous, principes étroits, et automatiquement ils préparent leur esprit à recevoir la solution. Ce n’est pas le fait d’avoir cherché qui va leur apporter la solution, mais le fait d’avoir défriché, débroussaillé, agrandi l’esprit, agrandi l’entendement, développé la culture, tout cela un jour va leur permettre de recevoir.

C’est un peu comme un initié, ou plutôt comme un disciple qui essaie d’obtenir l’initiation. Tout son travail ne va pas lui apporter l’initiation, qu’il fasse une ascèse, qu’il répète mille et un mantras, mille et une prières, qu’il ne mange plus, qu’il ne boive plus. Tous ces moyens défrichent en lui le terrain qui doit révéler l’initiation qu’il comportait déjà.

C’est pourquoi, un médecin doit être tolérant avec ses confrères qui ne sont pas de son avis par rapport à une recherche, et surtout par rapport à la médecine, lorsqu’il s’agit d’intégrer tout le côté énergétique et occulte de l’homme. Vous comprenez très bien, qu’un être humain n’est pas capable d’aimer, en imaginant qu’il ait pu avoir beaucoup de traumatismes, de problèmes, ou que son envergure spirituelle encore trop étroite, ne le lui permet pas. Eh bien, il en est de même pour les gens qui n’arrivent pas à accepter l’existence du corps éthérique ou des chakras.

Donc, la percée de la nouvelle médecine, n’est pas une percée que des initiés doivent révéler. Il y a tout simplement des médecins qui, par leurs recherches, leurs pratiques, agrandissent leur esprit. Non pas à cause des découvertes, mais à cause surtout des échecs. Alors automatiquement une porte se ferme et l’esprit qui  s’éparpillait dans toutes les directions se centralise, se canalise et peu à peu ouvre la voie qui mène véritablement à la médecine ou plutôt à la guérison.

Il n’y a pas véritablement de médecine, il y a plutôt des actes de guérison, et c’est ce qu’il faut comprendre.

Comment se préparer pour être le terrain qui révèle cette nouvelle médecine ?

Il faut d’abord s’instruire à propos de la constitution occulte de l’homme. Quel que soit déjà votre savoir  à propos de la nature physique de la maladie et de l’homme, il faut en plus rajouter toute la constitution occulte. Il faut en fait s’instruire à propos des énergies, connaître la constitution des chakras et les principales causes des maladies, naturellement, des causes énergétiques.
Vous n’aurez pas pour autant le savoir juste lorsque vous serez face à un malade, parce que pour décoder si la maladie vient d’un problème épidémique, karmique, ou d’un chakra, il va falloir utiliser la voyance ou la clairvoyance. Or peu de gens la possèdent.

Ce qui ne veut pas dire que vous devez la développer pour être meilleur médecin ou praticien.  Ensuite, il ne faudrait pas qu’au cours d’un diagnostic, votre démarche soit de rechercher la racine de la maladie. Il faut, par la connaissance, élargir l’esprit, afin que vous ne soyez pas bloqués par le côté étrange lorsque vous aurez une intuition pour donner tel ou tel remède, telle ou telle thérapie, ou conseil.

Que sera le médecin de demain ?

D’abord c’est dans l’université qu’il faut changer la médecine. Ce n’est pas véritablement en changeant le médecin, mais en changeant le programme d’étude. Nous parlons là, d’une médecine qui aura lieu dans bien, bien longtemps, avant que le programme lui-même ne soit changé. Il faut que l’homme ait encore beaucoup souffert, sans trouver les solutions, pour enfin admettre les connaissances ésotériques et occultes à propos de la nature de la vie. Il faudra endurer de nombreux échecs, que surviennent des maladies insurmontables et que se développent encore plus de guérisseurs. C’est par la venue de guérisseurs de plus en plus nombreux qu’aura lieu le déséquilibre afin que l’équilibre ait lieu.

Ainsi, la médecine étant assaillie par de nombreuses maladies nouvelles, des  mutations de virus, des dépressions, nouveaux cas de folie, qu’elle n’arrivera pas à contrôler, n’ayant aucun recours, mais voyant que les guérisseurs se multipliant arrivent à des solutions et des guérisons, alors il y aura un point d’entente et de recherche en commun.

C’est cela qui déclenchera ce que vous appelez la nouvelle médecine. Si vous voulez faire des recherches à propos de cette nouvelle médecine, allez puiser auprès des guérisseurs, c’est beaucoup mieux que de créer d’autres fondements à la médecine, car vous ne pouvez pas, à cause des temps qui ne sont pas encore là.

Tout ce que vous pouvez, c’est, à la manière d’un guérisseur, apporter une autre façon de faire, amener un élargissement à propos de la façon de voir, de vivre la maladie, et instruire, aux moyens de vos connaissances ésotériques, à propos des différentes sources de la maladie, mêmes si vous ne pouvez en avoir véritablement la preuve, puisque, pour beaucoup, vous n’êtes pas guérisseur.

Les guérisseurs vont augmenter en nombre, en qualité naturellement, et chacun va se trouver spécialisé dans un mode d’action, ce qui va permettre à la médecine d’étudier les différents aspects occultes de l’homme.

Voyant qu’un guérisseur détenant un certain type d’énergie est concerné par un certain type de maladie, la médecine aura de quoi étudier. Ce n’est  plus l’acte de foi du guérisseur qui accepte les yeux fermés, mais des actes de guérisseurs véritablement spécialisés. En même temps qu’il y aura ces recherches, les gens de la médecine traditionnelle vont aller happer le savoir, et immanquablement ils seront obligés, sans le savoir, de se transformer. Même si au début, leur désir n’est que d’être des voleurs de feu, peu à peu ils seront séduits.

Celui qui détient déjà un branchement et de la connaissance en médecine traditionnelle, doit développer son propre potentiel initiatique, son potentiel de guérisseur en fait. C’est-à-dire qu’en plus de toute la connaissance mentale, va se développer une perception à propos de la maladie.
Ce qui fait que, même sans clairvoyance, sans voyance, ou sans intuition, il y aura perception du cas de la personne, et cela se développe. Pour cela, il faut méditer, se concentrer sur le rayon de la guérison, sur la part de la hiérarchie qui s’occupe de la guérison, et sur les anges guérisseurs.

Il faut faire un véritable branchement sur cette zone concernant le savoir de la guérison, et sur tous les êtres qui s’en occupent. Faire chaque jour un travail de visualisation avec cette part de la hiérarchie, et demander une collaboration.

Cela ne va pas être évident les premiers temps. Mais il faut que l’individu continue cette démarche, continue ce branchement, tout en développant de plus en plus le côté disciple de sa personne. Il ne peut pas y avoir véritablement guérison du type miraculeux, des découvertes miraculeuses, si l’individu ne possède pas potentiellement un degré suffisant de disciple. Il le faut absolument.

Donc, pour toutes les sciences cachées, c’est le côté disciple qui ouvre les portes. Plus l’individu se raccorde à la hiérarchie de la guérison, plus il a une mentalité de disciple, des vibrations de disciple, et plus il est investi par ces êtres qui opèrent littéralement à travers lui, quelle que soit sa disponibilité, que ce soit un être qui mentalement reste éveillé constamment, ou qui se mette dans un certain état d’ouverture à l’occasion.

Ce qui compte c’est développer ce branchement. Il en est de même pour toutes les sciences et pour tout ce que vous voulez faire, que ce soit pour découvrir les secrets de la nature, ou les secrets d’une autre science. Il faut d’abord se raccorder à la part de la hiérarchie, au rayon qui la concerne et s’envelopper de la couleur du rayon concerné.

Par exemple, le rayon de la science a une couleur spécifique que vous devez trouver, des écrits traitent ce sujet. Lorsque vous faites vos méditations, étant donné qu’il s’agit pour vous de vous brancher sur ce rayon, d’entrer en contact avec les êtres de ce rayon, il faut vous visualiser dans la couleur de ce rayon, et visualiser que cette couleur vous pénètre jusque dans votre sang, que toutes les cellules sont imbibées par ce rayon. Vous incarnez le rayon.

Ainsi, dans la mesure où vous devenez de plus en plus disciples, donc de plus en plus perceptifs, ouverts, toute la hiérarchie qui constitue ce rayon se déverse à travers vous, et vous pouvez faire alors des découvertes fantastiques.

C’est comme cela depuis toujours, il n’y a pas eu un guide qui s’est matérialisé à un moment donné pour dévoiler quelque chose à son disciple. Les guides ont parfois mille choses à faire en même temps, mais par contre si le disciple lui, se canalise complètement dans le rayon de son Maître, automatiquement et inconsciemment de la part du Maître comme de la part du disciple, c’est comme si leurs mémoires s’échangeaient les données.
Le disciple monte avec sa mémoire vierge et propre, et à cette mémoire, donc à cette coupe, vient se placer la mémoire du Maître qui contient toutes les informations sur le sujet demandé. Il y a osmose et le disciple a la révélation. Il cherche deux trois minutes, et il a une compréhension. Il marche dans son jardin, il réfléchit et il a un déclic, en dormant il a le rêve qui lui apporte la solution consciente ou inconsciente. Si elle est inconsciente elle lui sera révélée dans ses démarches.

Tout peut avoir lieu dans la mesure où l’individu se branche psychiquement avec la gamme vibratoire qui correspond à sa recherche.
Là, est le secret de tout, pour faire le bien, comme pour faire le mal. Car ceux qui pratiquent la magie noire, utilisent exactement le même procédé, mais dans la gamme vibratoire inverse, descendante. Là, il s’agit de créer le branchement avec la gamme ascendante. Naturellement, il est plus facile de créer un branchement avec une gamme vibratoire descendante, c’est clair, c’est net. C’est pour cela, que l’homme doit faire l’effort de devenir un petit peu plus disciple, par rapport à son état normal, pour pouvoir obtenir un branchement avec les guides et les Maîtres.

Donc, quel que soit le rayon que vous avez choisi, étudiez la couleur qui lui correspond, mettez-vous dans cette couleur, prenez le Maître qui lui correspond, et demandez la collaboration.
Naturellement, ce n’est pas véritablement le Maître qui va collaborer, mais toute sa hiérarchie, et quelque part, ce sera l’essence du Maître, et ce sera aussi fort que s’il s’agissait de sa présence.

Pour être un guérisseur du nouveau monde, un chercheur du nouveau monde, il faut être disciple. C’est immanquable. Pour être quoique ce soit qui appartienne au nouveau monde, il faut être disciple. La connaissance, la science de ce nouveau monde va intégrer si totalement tout l’aspect énergétique, qu’il faut absolument être disciple pour pouvoir le comprendre, le ressentir et pouvoir travailler avec. Si vous ne faites que l’étudier, vous n’allez pas forcément le ressentir et vous ne pourrez pas travailler avec cette énergie.

Les hommes qui vivront l’ère future, seront les terrains mêmes de la mutation, de l’alchimie en quelque sorte. Quand ils voudront appeler tel ou tel rayon, ce ne sera pas un procédé magique, comme cela l’est actuellement, mais l’homme sera véritablement investi par le rayon. Cela veut dire qu’il pourra le supporter et qu’il en sera digne.
À l’heure actuelle, la plupart des guérisons, qui concernent la grande manipulation d’énergie, passent par des actes plus ou moins magiques, parce que l’homme n’est pas suffisamment évolué pour contenir le rayon et le renvoyer pour qu’il puisse œuvrer. L’homme n’est pas le relais.

Dans l’invisible, des êtres servent de relais, et l’homme n’est qu’un exécutant de la dernière phase de cette énergie arrivant dans le physique.
Si l’homme pouvait être le canal total et intégral de cette énergie, cette énergie pourrait agir encore plus miraculeusement. Mais pour que l’être humain ne soit pas dérangé, perturbé, brûlé, le relais filtre, et lorsque l’énergie arrive, elle n’est plus aussi miraculeuse que ce qu’elle devrait l’être.
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C’est pour cela, qui que vous soyez, médecin, guérisseur, chercheur, ce qu’il faut développer avant tout, avant même de penser à votre don, c’est de développer votre état de disciple. Plus vous le développez plus votre don sera multiplié, pas seulement par deux ou par trois, mais je parle de cinq, six, même dix fois.
Plus vous vous épurez, plus vous augmentez votre vibration, et plus vous devenez alchimique vis-à-vis des autres. Vous pourrez prendre leur karma,  cela ne vous dérangera pas. Vous pourrez brûler leur cancer, il n’y aura pas de problème, leur rendre la vie, comme a fait ce grand frère en Palestine, et il n’y aura aucun problème. Tout dépend de ce que l’homme est capable de transmettre en énergie, là est le secret.

Mais naturellement pour transmettre, donc pour être le terrain de mutation de toutes ces énergies, il faut développer votre propre terrain énergétique. À ce moment-là, vous représentez ce qu’est l’ampoule dans une pièce à éclairer. Si le Maître juge que vous, petite ampoule, n’êtes pas assez forte, il va créer des filtres qui diminuent l’intensité du courant à passer.
Ce qui fait que, selon l’ampoule, l’envergure de l’ampoule, la pièce va être plus ou moins éclairée, la découverte va être plus ou moins complète, la guérison va être plus ou moins totale. C’est pourquoi il faut absolument développer votre propre ampérage en quelque sorte, car tout se passe par transmission d’énergie.

Nous, nous voudrions bien, à cause de l’état dans lequel se trouve l’humanité, transmettre à tous les médecins, à tous les guérisseurs, les voyants, les magnétiseurs, un pouvoir absolu de guérison totale. C’est ce qui nous arrangerait, vous pensez bien. Mais si on faisait cela, vous seriez les premiers à mourir, de la même manière que si on envoyait la pleine intensité d’électricité dans l’ampoule, elle serait grillée.

Donc, c’est à vous d’augmenter votre capacité vibratoire. Plus vous êtes dépositaire de l’énergie universelle, moins vous le serez d’une énergie dérivée. C’est l’énergie universelle qui arrive à donner la révélation de tous les mystères, la guérison miraculeuse de toutes les maladies, et de toutes les possessions. Vous savez très bien, que ce n’est pas d’ici un an, même dix ans que vous arriverez à être Jésus Christ. Peu importe, mais en  essayant de faire cet éveil en vous, vous arriverez en une seule vie peut-être à doubler, tripler ou quadrupler votre propre potentiel.

Comment procéder ?

Être un disciple ce n’est pas compliqué, mais en même temps cela réclame une certaine discipline. Il faut que la démarche soit sincère. Tout repose dans la continuité de la discipline, sur la sincérité, l’authenticité du cœur qui fait la démarche en fait.
Si c’est simplement pour développer quelque chose, mais on ne sait pas trop quoi, si c’est pour être mieux, alors que l’on ne se sent pas bien, il ne faut pas envisager d’être disciple. Il faut, avant tout, vous occuper de vos problèmes, les vieux problèmes avec les voisins, avec le passé, avec les traumatismes etc., les régler et ensuite penser à devenir disciple.

Pour faire ce balayage, toutes les méthodes existent à l’heure actuelle. Utilisez aussi les méthodes de respiration pour vous libérer de vos problèmes  ou de certains petits défauts. Vous pouvez par le respir vous libérer, nettoyer l’inconscient, mais il faut participer pleinement. S’il vous manque de la participation, le respir ne sert pas, il vous faut passer à d’autres techniques plus axées sur la relaxation.

Une fois que ce nettoyage est fait, passez véritablement à la discipline, ce qui ne veut pas dire, qu’elle soit extrême  et stricte. Cela doit se faire naturellement, vous n’avez même pas à vous forcer. Le simple fait, de faire la démarche et d’être véritablement authentique, fait que la discipline devient naturelle, devient, en quelque sorte, votre vraie nature.
À partir de ce moment-là, envoyez chacune des pensées dans un accomplissement de bien, aussi bien pour l’humanité que pour vous-même, et vivez en étroite relation avec la hiérarchie, ce que nous appelons et ce que vous appelez la hiérarchie. C’est un symbole très pratique.

Comment développer justement cette intimité, cette relation quotidienne ?

Certains pourraient employer la persuasion : je suis en contact avec la hiérarchie, le croire, se forcer à le croire, et puis sentir que, finalement, il n’y a pas de résonance. Ce n’est pas avec la persuasion que l’on crée cette relation.
C’est d’abord avec une démarche authentique, je le répète, et ensuite par une mise en pratique quotidienne de ce que vous savez ou ce que vous êtes déjà, si vous possédez un don ou une activité qui puisse aider les hommes.

Chaque matin, à force de visualiser intentionnellement votre branchement avec la hiérarchie qui vous convient, de demander l’assistance, la collaboration, d’essayer de vous anoblir et d’œuvrer, c’est comme une roue à aube qui se met à tourner. Automatiquement, l’énergie que vous avez appelée, par visualisation le matin, descend sur vous, et en même temps qu’elle descend pour servir aux autres, en passant à travers vous, elle vous initie davantage.

C’est pour cela qu’en fait, le serviteur est le premier servi, le disciple est le premier à être initié, parce qu’en fonctionnant, il est le terrain de l’échange de l’énergie. Ses chakras sont ouverts, et intuitivement, ou de manière impromptue, les choses, les renseignements, les gens viennent vers vous, ou vous allez vers eux de manière naturelle. S’il vous faut alors une nouvelle méthode de méditation, découvrez-la dans un livre, ou créez-la vous-même par intuition, ou rencontrez quelqu’un qui vous la donne. Mais ce qu’il faut avant tout c’est créer le branchement. L’homme de demain sera un homme vivant.

Quelle est la différence entre un homme mort et un homme vivant ?

Un homme vivant, c’est un homme qui vit véritablement son concept cosmique d’homme. Un homme vivant, c’est un homme qui est relié avec sa source première d’énergie, avec son âme en fait. Alors naturellement, les degrés de relation avec l’âme vont être différents selon votre capacité momentanée présente, mais cette capacité ne dépend que de votre effort d’aller toujours plus loin à chaque instant.
Lorsque les hommes viennent vers nous, que ce soit par l’esprit, par leurs prières, ou par leurs colères, ils ne comprennent pas, qu’avant toute chose, ils doivent être branchés avec la hiérarchie.
Quelle que soit votre activité, faites-le, cela apporte la vie aussi bien à l’âme qu’à l’esprit, cela fait tomber sur vous l’eau qui va développer davantage votre préparation énergétique avec laquelle vous êtes nés, cela va initier votre esprit à voir les choses, chaque fois plus grandes.

Mais si pour beaucoup vous avez déjà une démarche spirituelle, souvent, il vous manque quand même le branchement avec la hiérarchie, qui ne signifie pas forcément avoir un don. Lorsque je parle de branchement psychique, je parle en fait de ce branchement vibratoire, qui fait que, consciemment, ou intuitionnellement, l’individu perçoit qu’en lui, vibre quelque chose de vivant.

Dès que vous vous sentez être vivant, vous ne pouvez plus douter: vous êtes branchés avec la hiérarchie. Et à ce moment-là, la force et la puissance viennent en vous et sur vous, quel que soit votre caractère, timide, enfantin, peureux. Tout est transformé, et la conviction de l’acte s’installe, une grande force s’installe en vous. Ce n’est pas votre force, mais elle devient votre force. Je vous en prie, avant tout, branchez-vous avec la hiérarchie.

Comment vous brancher ?

Faites chaque matin un petit rituel, que chacun ensuite prolongera à sa manière, selon sa méthode de relaxation ou de méditation, ou suivant ce qu’il découvrira par intuition ou, par la suite, par connaissance .

Prenez trois bougies que vous disposez en triangle la pointe tournée vers l’Est. Au centre du triangle mettez une bougie plus grosse dans une coupe remplie d’eau et déposez autour des fleurs, des éléments selon votre propre perception. Au centre vous ferez en fait selon votre propre rayon.
Récitez la grande invocation.
Quand vous énoncez la première phrase de la grande invocation, allumez la première bougie pointée vers l’Est, afin que cette flamme porte et soit la manifestation de cette première strophe.
Quand vous récitez la deuxième strophe, allumez la bougie de gauche.
Pour la troisième strophe, allumez la bougie de droite.
Pour la quatrième strophe la bougie du centre.
Ensuite, avec les derniers mots de la grande invocation, vous repassez sur chaque bougie et vous faites un signe de Croix pour consacrer le tout avec le signe cosmique du Christ.

En faisant ce rituel, pensez que tout votre être se canalise et monte comme un tube de lumière, vers la hiérarchie, que vous pouvez imaginer comme un énorme soleil ou comme un grand temple qui émet des sons, des mantras. Peu importe, faites selon votre ressenti.
Installez-vous en méditation et visualisez le branchement.

Il faut ensuite vous aligner sur les trois points.
Vous imaginez un filet de lumière qui réunit le centre du cœur, le troisième œil et le chakra coronal et qui monte en grand tube vers cette hiérarchie.
Vous maintenez cette visualisation autant que vous le désirez, selon que vous êtes un être à faire de la visualisation, ou un être de type passif, et ensuite, vous faites ce qui vous plaît.

Lorsque vous terminez la méditation, vous éteignez chaque bougie en répétant, chaque strophe de la grande invocation et vous renvoyez toute l’énergie avec vos mains vers le ciel, vers la hiérarchie, et vous saluez. Car il faut toujours saluer, non pas pour reconnaître que les êtres invoqués ou que le rituel effectué soit quelque chose de royal qu’il faut saluer, mais dans le fait de saluer, l’homme rejoint, ramène, tous ses courants vers la terre.

Tout le surplus d’énergie, qui risquerait quelque part de l’échauffer, ou pire de le perturber, retourne vers la terre, et de ce fait, il devient un être en grand équilibre. Ce qui lui manque en énergie il va le garder, n’est renvoyé que le surplus. Donc il faut saluer de façon que le chakra de la tête soit face au sol pour qu’il déverse son surplus.

Faites cela tous les jours, peu importe le temps que vous y passerez, dix minutes pour ceux qui n’ont pas plus de patience, ou qui sont de nature nerveuse, ou une demie heure pour ceux qui sont un peu plus passifs. Il faut respecter sa nature, attention il ne faut pas se tromper, se leurrer sur soi-même. Il ne faut pas se dire « si je médite une demie heure, j’aurai bonne conscience, et je serai un bon disciple. » Soyez authentique avec vous-même.

Si vous ne supportez pas plus de dix minutes n’accélérez pas, c’est à force de méditer uniquement dix minutes, que cela va développer en vous la capacité de le faire ensuite plus longtemps. Soyez honnête à la base, véritable en quelque sorte, comme un cristal. Alors les cieux pourront se refléter en vous.

Plus vous développez ce branchement, plus vous allez avoir de révélations, plus vous allez rencontrer les personnes qui vont vous guider pour obtenir ces révélations, ou vont vous les faire. Vous irez plus loin dans votre intuition, vous aiguiserez vos capacités mentales.

Comment prétendre faire des recherches, si, les énergies mentales de l’individu sont quelque peu sclérosées à cause du mode de vie, ou qu’elles plafonnent à cause du degré initiatique atteint?


Il faut toujours renouveler les capacités énergétiques du mental. Le mental est un des corps les plus subtils de l’homme, l’intellect est la forme extérieure. La méditation apporte une grande intelligence, et permet un développement supérieur de la découverte, parce que cela grandit, subtilise le corps mental, là où  passent tous les échanges en vérité. Ensuite, ce n’est plus qu’une projection dans l’intellect.
Ce qui compte, avant tout, c’est de développer ce corps mental, de l’alimenter, de le rendre très vibrant, très réceptif.
En développant ce que je viens de vous dire, vous allez d’une certaine manière activer, mais tranquillement, sans danger, la pinéale, qui correspond directement au plan mental. C’est en quelque sorte la voie de l’âme, la pensée de l’âme.
Si la pinéale est activée par le moyen de la méditation ou les exercices du souffle et d’une certaine manière une nature de disciple, la voie de l’Âme descend dans ce réceptacle qu’est la pinéale et rayonne dans toutes les autres glandes, dans tout le système nerveux qui aiguise vos perceptions, car l’homme capte par son système nerveux.

Le don lui-même dépend du taux vibratoire du système nerveux, ce qui ne veut pas dire que les nerveux ont des dons, il ne s’agit pas du même taux vibratoire. Plus le système nerveux est aiguisé et plus l’individu va posséder un don performant, car la perception est équivalente.

Donc, il faut, en vous, aiguiser toutes les perceptions, toutes les zones réceptives comme la pinéale, la thyroïde, chacun des chakras. Tout ceci se gagne en développant vos vibrations, votre taux vibratoire, donc en étant disciple. Il n’y a pas de secret.