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Le rayon de son âme



Psychologie Cosmique


27-07-872/6


L’argent – son type d’énergie – son rôle.
Existe-t-il une véritable école initiatique.
Vivre motivé par la lumière intérieure.
Le message de paix du Bouddhisme.
D’où viennent les milliards d’âmes ?
Connaître son karma.

 


Question:

Pour la construction de l’anthakarana, comment connaître l’énergie du rayon de l’âme sous son aspect volonté auquel on est affilié. Existe-t-il quelque part une réelle école initiatique dirigée par d’authentiques initiés, qui peuvent guider les élèves en connaissance de cause ? Est-ce que vous nous suivez d’en haut ?


Existe-t-il une véritable école éthérique et initiatique ?

En fait, l’école véritable se trouve sur un plan éthérique. Tout ce que l’on pourra trouver sur un plan physique ne sera que de formation humaine, même si un initié en a été la pierre de la base.

Pourquoi il y a-t-il toujours déformations lorsqu’il y a projection dans la matière ou dans la race humaine ?

C’est à cause de l’interprétation humaine. Ainsi, la religion, bien qu’elle soit pure dans son sein, dans son verbe, est toujours quelque chose de très pâle à côté de la réalité cosmique.
Le principe de la religion est de mettre la parole de Dieu à la portée de compréhension des enfants. C’est pour cela, qu’à chaque cycle, il y a une religion appropriée, un rituel approprié, parce qu’une énergie doit être intégrée par l’humanité, qui en est à un certain degré initiatique et cette énergie correspond à un certain rayon, à un certain type d’intelligence.

Les véritables écoles ésotériques ont existé dans le temps. Chaque fois qu’une civilisation arrive à son apogée, il y a manifestation d’une école ésotérique véritable, avec des initiés authentiques, avec une masse, donc un peuple lui aussi initié dans la masse. Mais cela arrive comme une conclusion, comme à l’école, lorsqu’un grand examen couronne tous vos cours. Cet examen de valeur existe, mais parce que vous avez fait tous les cours. Il n’existe pas la première année, ni la deuxième année, il existe à la fin de tous les cycles. Donc il ne faut pas critiquer l’humanité à son stade actuel puisqu’elle n’a pas terminé son cycle, elle est en pleine évolution.

Donc je ne peux pas parler de votre civilisation, car ce serait la condamner avant même qu’elle ait poussé. Ce qu’il faut c’est comprendre les choses telles qu’elles arrivent, comprendre leur nécessité, et comprendre la volonté qui pousse les choses à la manifestation.
Si vous comprenez les nécessités et la volonté qui pousse ces nécessités à devenir de grandes lumières, vous connaissez la raison d’être de chaque chose, et les choses véritables ne vous manquent pas.
Car celui qui se désespère, par exemple, de ne pas trouver une école ésotérique véritable sur un plan physique, n’a pas compris qu’il doit, en fait, laisser les hommes prendre la nourriture dont ils ont besoin, et lui, aller tendre son assiette ailleurs, et où se situe cet ailleurs ? Dans le plan invisible.

Lorsque l’individu est allé au bout de l’expérience que l’on peut faire dans les cercles ésotériques ou initiatiques de la terre, et lorsqu’il n’est plus satisfait, il doit regarder tout simplement en l’air, en haut, là où se situent toutes les extériorisations de la sagesse.

Qu’est-ce qu’une religion, une école initiatique, éthérique ou quoi que ce soit d’autre ?

Ces groupes-là sont des extériorisations de la sagesse, et ainsi, quelle que soit la religion ou le groupe, on les retrouve à l’intérieur même du centre sacré de la sagesse que l’on connaît à l’heure actuelle sous le nom de Shamballa.
C’est un peu comme s’il y avait une sagesse une et unique dirigée par des maîtres absolument réalisés qui se situent dans le centre sacré de Shamballa, et que ces maîtres ayant à diriger chaque pays, chaque civilisation, ont la charge d’extérioriser cette sagesse. Ils considèrent la culture de ces gens, leur type vibratoire, leur type génétique, leur avenir, leur destinée, et leur rayon, considèrent une sorte d’intermédiaire de traduction de la sagesse, pour que les individus puissent avoir un moyen d’évoluer.

C’est toujours une mise à portée de l’individu. Et puis arrive un jour où chaque pays ayant acquis ce qu’il devait acquérir, chaque maître ayant donc fait son travail, il s’opère une synthèse.
L’humanité n’est plus scindée en races différentes, en civilisations, en continents différents, il y a une seule race, une seule civilisation, et c’est là où l’on atteint la synthèse des religions et des langues. Et cela existe, cela arrive périodiquement sur les planètes de manifestation. Mais pour cela, il faut attendre la fin des cycles.

Ce qu’il faut comprendre, c’est que la terre représente un terrain d’apprentissage, une école, une pépinière d’âmes en quelque sorte, et que le but n’est pas que cette terre soit parfaite dès le premier jour, que la société, la civilisation, l’homme, soient parfaits dès le premier jour. Non, c’est une erreur.
Ce qu’il faut, c’est participer à l’évolution, donc il faut comprendre l’imperfection.

Si l’on veut travailler pour la perfection, et que l’on ne considère que la perfection, on ne comprend pas l’imperfection de ce monde. Ce monde au contraire rebute l’individu, et on se sent agressé, mal à l’aise, en conflit. Or si l’on fait l’inverse, si l’on comprend d’abord l’imperfection, puisque c’est la zone sur laquelle vous vous situez sur un plan physique, il faut d’abord vous dire :
« Je suis sur la terre, mais dans quoi suis-je ?
Autour de moi, qu’y a-t-il ?
La haine, l’agressivité, l’égoïsme, la méchanceté, le mensonge.
Qu’est-ce que toute cette imperfection, quelle est sa réalité, sa valeur, le pourquoi, son origine ? »

Lorsque vous vous renseignez par l’intermédiaire des études occultes, et que vous vous apercevez que l’humanité vit tout simplement son enfantement dans le ventre de sa mère terre, alors vous êtes beaucoup plus compatissants, compréhensifs vis-à-vis de l’imperfection. Vous vous apercevez que c’est simplement une crise de croissance, et qu’un individu qui se démène et se déchaîne face à sa haine, face à son égoïsme, ne vous agresse pas, ne vous tue pas, ne vous vole pas, ne vous méprise pas, c’est lui-même qu’il vole, qu’il humilie, parce que vivant une énergie qui n’est pas la sienne.

Lorsqu’un individu vous humilie, vous vous sentez humilié à cause de la phrase qui a été dite. C’est une erreur, car en fait, celui qui s’humilie c’est celui qui prononce la parole. C’est lui qui vit cette énergie puisqu’il la porte, qu’il la déclenche, qu’il en est le terrain, le germe. Le seul humilié c’est celui qui a humilié. Vous, vous n’avez pas extériorisé cette énergie, donc elle n’est pas en vous. Alors pourquoi vous en charger ?

Lorsque quelqu’un fait un geste d’ignorance de la sorte, il ne faut pas que vous vous en chargiez, que vous le viviez. Il faut que vous considériez l’autre comme étant perdu dans son égoïsme, dans son humiliation, dans sa méchanceté, et il faut l’aider à en sortir. C’est dans ce sens qu’il a dit : « Si on te frappe sur la joue droite, tends l’autre joue. »

Il n’a pas dit cette phrase pour que vous vous laissiez battre, que vous vous laissiez avoir par les autres. Il voulait signifier à celui qui vit une imperfection, montre-lui ton autre face, celle qui est parfaite, et tu verras qu’il ne la battra pas.


Lorsque l’on montre sa face droite, le côté droit, c’est le côté de la matière, c’est donc le côté grossier qui peut être imparfait. Lorsque l’on montre le côté gauche, c’est le côté de l’âme, c’est donc la perfection. Lorsqu’on bat ton imperfection, montre ta perfection. C’est en ce sens qu’il parlait.